Aller mieux…

Grâce à l'hypnose vous devenez votre meilleur.e ami.e !

Notre rapport au monde, nos modes de fonctionnement, la manière dont nous réagissons, nos interactions sociales, nos émotions, nos ressentis, tout cela est lié aux mécanismes que nous avons construits et mis en place, le plus souvent de manière inconsciente, au long de notre histoire personnelle.

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Ensemble, nous ne chercherons pas d’où vient le problème mais comment vous pouvez le résoudre.

Au fil du temps, il arrive que ces mécanismes installés dans le passé ne soient plus adaptés à notre vie présente et engendrent un sentiment de mal être, entravent notre quotidien, ralentissent ou empêchent l’atteinte de nos objectifs personnels et nous éloignent d’un sentiment de sérénité et de plénitude.

L’hypnose établit le dialogue avec ces parts inconscientes de notre cerveau pour déjouer les automatismes qui nous empêchent de trouver l’équilibre qui nous convient.

C’est le but de la séance : vous aider à avancer par vous-même dans cette réorganisation cérébrale en vous donnant accès à vos propres ressources.

Pas de magie, pas d’esbroufe, pas de spectacle mais de l’empathie, de la technique et de l’éthique.

Une connexion émotionnelle et sensorielle

Par l’induction d’un état de conscience modifiée, et non “d’inconscience”, dans lequel la personne peut, au contraire, être très concentrée et pleinement consciente de ce qui se passe, la séance d’hypnose vise à assouplir les résistances, les barrières limitantes, pour donner un meilleur accès au siège des émotions, des ressentis et intervenir efficacement sur les constructions mentales pour conduire rapidement au changement désiré. La technique n’est pas intrusive car elle agit sur des registres symboliques.

Régie par un processus physiologique

Le cortex est la principale zone du cerveau impliquée dans l’état hypnotique, c’est là qu’entrent en jeu les mécanismes cérébraux concernés :

· Diminution de la conscience de soi, détachement

· Focalisation de l’attention portée sur l’activité mentale

· Augmentation du contrôle des réactions corporelles

Comment ?

  • L’hypnose est toujours explorée par la recherche scientifique sous sa forme thérapeutique, validée notamment grâce aux découvertes récentes des neurosciences qui remettent par exemple en question l’idée reçue selon laquelle les personnes sous hypnose ne sont pas conscientes de leurs agissements ou sont endormies. L’hypnose n’est pas une sieste. Elle induit un état de conscience altéré (ou modifié) dans lequel le sujet peut être très concentré et pleinement conscient de ce qui se passe.

    Les recherches en neuroscience récentes ont mis en évidence plusieurs aspects surprenants de l’activité du cerveau sous hypnose et notamment un processus dit de réorganisation cérébrale. Des études de neuro imagerie ont montré que l’hypnose peut induire une augmentation de la plasticité cérébrale et de la connectivité neuronale - façon dont les neurones communiquent les uns avec les autres - dans des régions stratégiques du cerveau, en particulier dans le cortex préfrontal. Ainsi, l’étude finlandaise menée par Jarno Tuominen, chercheur sénior au département de psychologie et de pathologie du langage de l’université de Turku (Finlande), publiée en 2021, a montré, en enregistrant l’activité électro-magnétique de sujets sous hypnose, que les régions cérébrales fonctionnent de façon indépendante les unes des autres, un peu comme si les musiciens d’un orchestre ne suivaient plus la synchronisation de leur chef. Les régions deviennent autonomes et le sujet peut tout à fait être conscient de certaines choses sans être conscient de l’environnement, ou être transporté par exemple dans un rêve.

    Aujourd’hui, ces chercheurs ont obtenu la preuve que le cerveau humain traite les informations différemment sous hypnose.

    En temps ordinaire, plusieurs régions du cerveau humain travaillent ensemble et collaborent pour nous aider à traiter, comprendre et réagir aux stimuli externes. Sous hypnose, le cerveau semble « changer de vitesse » pour adopter une approche plus singulière. En d’autres termes, lorsqu’une personne est en transe, les régions du cerveau agissent indépendamment les unes des autres.

    Les chercheurs ont suivi la propagation d’un courant électrique induit par le magnétisme dans le cerveau d’une même personne sous hypnose et en état de veille ordinaire. C’est la première fois qu’une telle approche est utilisée pour comparer la conscience hypnotique à l’état d’éveil. Cette  même technique avait permis par le passé de mesurer les variations cérébrales entre des états de sommeil, de coma et d’anesthésie.

    « Même si ces résultats ne peuvent pas être généralisés avant d’avoir été reproduits sur un plus grand échantillon de participants, nous avons démontré quels types de changements se produisent dans l’activité neuronale d’une personne réactive à l’hypnose », conclut Jarno Tuominen.